Le BDK nous rapporte de l’argent ! 23€ à chaque ordonnance voire plus. Et sur ce site c’est rapide. C’est un acte très rentable qui assure notre crédibilité et nous permet de devenir indépendants du médecin pour les patients chroniques.
Il y a 2 cas de figure :
Le médecin fais une ordonnance quantitative
(de qq séances à 30 séances) nous facturons le BDK a la 1ère séance, on réalise un bilan initial et nous le gardons dans nos archives.
Si le traitement se finit, on en reste là.
Si on veut prolonger les soins, il faut redemander une nouvelle ordonnance au médecin, le mieux est de faire le bilan final, de le comparer au bilan initial, de l’imprimer et de le donner au patient qui le transmettra au médecin. Vous justifiez votre demande.
La nouvelle ordonnance permet de re-facturer un BDK (23€), et ainsi de suite jusqu’à la fin du traitement.
Le médecin fait une ordonnance non quantitative.
Nous avons la main sur le nombre de séances jusqu’à 30 (ou moins sur certaine pathologie définie dans les référentiels).
En pratique nous facturons le BDK à la 1ère séance, nous réalisons un bilan initial et travaillons librement sur 30 séances.
Pour réaliser plus d’actes, 15 jours avant la fin des 30 séances, nous faisons un bilan intermédiaire (n°1) et nous envoyons à la caisse (CPAM, MGEN..) une Demande d’Accord Préalable (DAP) imprimée depuis le logiciel de gestion patients avec le BDK bilan initial + intermédiaire. La caisse a 15 jours pour exprimer son refus (très rare). Passé ce délais nous pouvons re-facturer un BDK (23€) et travailler librement pour 20 séances. Et ainsi de suite toute les 20 séances, avec un bilan intermédiaire n°2.
PS : par prudence vous pouvez envoyer vos courrier en lettre suivie pour garantir la procédure et donc vos revenus.
Le médecin fait une ordonnance non quantitative sur une affection neurologique.
On peut réaliser 60 séances avant de faire la 1ère DAP (on factura le bilan à la 61ème) puis toutes les 50 séances pour la DAP. Le bilan est facturable à la 111ème, à la 161ème…
Le médecin fait une ordonnance non quantitative pour une pathologie soumis à référentiel.
On envois la DAP avec le BDK (initial+intermédiaire) au nombre de séances prévu par le référentiel. Puis toutes les 20 séances.
Par exemple il faut une DAP avant la 10èmeséance pour une entorse de cheville, puis toutes les 20 séances.
Pour facturer le bilan, on garde la règle initiale : le 2ème BDK à la 31ème, puis à la 51ème.
Cette 2ème option peut vous paraitre fastidieuse, mais elle garantit nos revenus et la continuité des soins.
Plus besoin de courir derrière le médecin pour renouveler !
Quand le patient a une pathologie unique, tout ce passe a peu près bien (sauf si il pense changer d’axe thérapeutique : infiltration, repos stricte…) mais s’il y a plusieurs pathologie (en gériatrie mais pas seulement) il risque de vous oublier purement et simplement.
Bien sur il est nécessaire de réorienter le patient vers son médecin pour un nouvel avis médical, pour écarter une suspicion de nouvelle pathologie… mais pas pour un acte « administratif ».